traduction doc anglais
Aurélie Flippetti, la ministre française de la culture, a du réagir à un tweet cette semaine après avoir une faute flagrante d’orthographe. Comme étant la gardienne officiel de la langue française, cette situation était d’un embarras important. La spontanéité de Twitter invite la négligence ; et la ministre a dûment accusé une aide négligée. Mais pour les puristes linguistiques l’incident s’est répercuté bien plus largement, concernant l’altération de la langue française par les réseaux sociaux et l’accélération de l’invasion du franglais.
Les français ont longtemps utilisé des règles pour défendre leur langue en vue de l’avancée effrayante de la langue anglaise par la publicité. Par la loi tous les slogans comme avec le « what else » du nespresso devait être traduit avec un sou titre (quoi d’autre ?). Cela produit un résultat amusant. Quick une chaine de fast food connue à travers le pays, a introduit le French Burger à son menu, délicatement traduit comme le burger à la française. Les publicitaires s’amuse à tordre les règles en utilisant des polices minuscules pour les traductions, ou alors en inventant des logos dans un indigestible franglais. Very irrésistible est un parfum de Givenchy, une marque française de luxe. Les magazines de fashion arrose délibérément leur textes avec des références avec le must, le look ou encore street style.
La diffusion des réseaux sociaux bat la langue française à nouveau. D’autant que le français est plus prolixe que l’anglais, la limite de twitter de 140 caractères par tweet crée une pression en plus. Les tweets français, comme les textos, sont remplis d’abréviations : koi for quoi, C pour c’est. Les néologismes abondent. Quelqu’un qui tweet peut être followé par d’autres. Un opérateur mobile français a lancé un nouveau réseaux nommé « sosh », diminutif de « social media ». twitter a déjà été transmutté lui même d’un nom à un verbe français.