Transformation des goûts sportifs
CM 4
Transformation des goûts sportifs
On a vu trois points : l’évolution et la différentiation sociale des goûts sportifs Les goûts sportifs sont socialement déterminé (c’est l’effet de position dans l’espace sociale) Les goûts et les choix sportifs s’expliquent par l’adéquation entre la culture corporelle des individus ou des groupes (habitus corporel) et un univers sportif particulier. (Une pratique qui ne contredit pas le rapport au corps et un cadre de pratique qui ne contredit pas le style de vie)
Les nouvelles questions sociologiques : Comment passe-t-on des différences sociale à la hiérarchisation de ces différences et a la construction d’inégalité ? Qu’est ce qui fait qu’une différence de goûts sportifs est interprétée comme un « mauvais » goût ou un « bon » goût ? Qu’est ce qui fait que le bon goût est réservé à une « élite sociale » ? Comment expliquer la transformation des goûts sportifs au delà des tendances lié aux modifications des rapports au corps (le passage de l’ascétisme à l’hédonisme, le la force à la forme, etc. )?
Disparité des goûts sportifs et légitimation sociale
nouveau concept : la violence symbolique et la délégitimation du goût populaire
Le dégoût du goût populaire
On peut parler de racisme social : c’est lorsqu’un individu va dénigré, porté un jugement négatif sur les manières, la façon d’être d’individus d’autres catégorie sociale (ex : la façon dont sont présenté les vacances des classes populaire et les vacances des classes supérieurs dans certains journaux)
Dans le monde social il y a des jugements sociaux qui s’opèrent sur des oppositions : Opposition entre pratiques vulgaires et illégitime et les pratiques dites nobles et légitimes : le rapport au corps illégitime serait l’expression de la force, du corps instrumental qui seraient des signes de brutalité, de sous socialisation et d’intelligence sous-développée. Le rapport au corps