travail
Premièrement, le personnage Diderot, prend le libertinage comme une forme de liberté. En aucune façon, il est capable d’être fidèle à quelqu’un. « Qui, des femmes ou des hommes ... la femme est naturellement réactionnaire.» (p.238) Dans cette citation, Diderot affirme clairement que les hommes ne sont pas fait pour être fidèles. Nous voyions très bien que Diderot compare une femme avec une personne qui désire fabriquer des statues avec les vivants. C'est-à-dire, que les femmes préfèrent avoir une relation stable, des enfants, une maison, elles veulent tout simplement « fixer le temps et arrêter les choses » comme l’a si bien dit Diderot. Tandis que les hommes eux cherchent toujours la passion, le sexe, ils désirent avoir ce qui est interdit, « l’homme voudrait rester un loup sans collier, le cou libre » en seulement une phrase, je crois que Diderot a défini ce à quoi il pensait. Par contre, Mme Therbouche n’est pas du même avis puisqu’elle aussi fait forme de libertinage. « Garce ! Ah, c’est tellement bon … à tout ce qui se trouve à prendre.» (p.289) Dans ce passage, l’auteur utilise la figure de style de l’accumulation pour faire comprendre au personnage, par plusieurs mots, c'est-à-dire « bijoux, argenterie, coffrets et tout ce qui se trouvait à prendre », qu’il sait bien faites avoir tout au long du récit. Tout en conservant une forme de libertinage chacun des personnages se croit libre de tout faire tant bien