Fofana Mamadou
Culture générale et expression

Le travail apparut vers 1130 est un déverbal de travailler, issu du latin populaire tripaliare signifiant tourmenter torturer avec le trepalium (instrument auquel on attachait les animaux pour les ferrer, soigner ou les esclaves pour les punir. Aujourd’hui en 2012 le travail s’est beaucoup diversifié de l’époque pour devenir un outil indispensable dans la vie de tous les jours. Cependant cet élément reste controversée il est certes facteur de bonheur dans certains cas mais reste la cause de malheur dans autres cas. Pour répondre a cette problématique, nous étudierons le travail sous un angle économique pour défendre celle-ci et sous un angle psychanalytique pour réfuter celle-ci.

De nos jours travailler apporte en plus d’un salaire, une contribution au bonheur en effet désormais grâce à cette outil on obtient une rémunération plus ou moins élevée selon le type de travail effectué permettant de subvenir à nos besoin les plus essentielles qui sont les besoins primaire, qui consistent à se nourrir, se vêtir, se loger et se soigner . Ses besoins la apportent une satisfaction minimale dans les foyers. En plus du besoin primaire le travail apporte un besoin secondaire lui donnant un confort à tout individu car il apporte un bonheur grâce auquel on peut s’offrir des rêves , de s’épanouir , de s’éclater de se rendre heureux soi-même , ses proches , sa famille ce qui est le cas pour les fêtes de fins d’année ou chaque homme épargne de son salaire pour au final offrir les plus beaux cadeaux posibles a ses enfant afin qu’ils soient les plus heureux possibles.
Pour l’homme le travail contribue au bonheur car il fait objet de création d’un réseau relationnel professionnel avec ses collègues de travail celui-ci permettant d’effectuer des activités extra avec sa direction, son équipe afin de souder, nouer des liens entre tous les membres de l’entreprise mais aussi pour faire régner une atmosphère conviviale au sein de