tumoùp
Il ya une voie lyrique qui parle a la première personne, il ya « elle » féminin qui est la déesse de l'aube d'été, il est considéré ici comme un personnage, on comprend donc que la voie lyrique et en interaction avec l'aube. On trouve plusieurs verbes traduisant un geste de la voie lyrique envers la déesse.
Nous avons des indices qui permet de nous poser la question sur la cadre spatio-temporelle, temporelle → « l'aube « au début, « midi » a la fin. Une journée entière c'est écoule entre les deux.
Il ya des connecteurs temporelle.
Spatio → « au front des palais » , « eau » , « la cime »
c.c de lieu s’enchaîne rapidement, il y a une abondances, beaucoup de verbes mouvement parce que ce qui est raconté n'est pas figé, c'est en mouvement perpétuelle, la vois lyrique essaie d'attraper la déesse de l'aube et lui cour après.
Ce texte se place dans le domaine imaginaire ou lyrique parce qu'on assiste a des événement surnaturelle exemple la fleur qui parle, par exemple, au début il y a plusieurs terme qui font référence a l'imaginaire , l'univers du compte de fée « palais « et « pierreries » elle reflette le regard de celui qu le tient ( personification )
L'eau était morte → personnification
Des allegorie de l'aurore, des Metaphore, c'est un concentration de figures de style qui nous plonge dans un univers onirique.
Le style d'écriture apporte un regard différemment sur le monde réel, de manière poétique.
Une prolepse → antisipation
Rêve qui est vivant parce que il est riche en detailles, des expensions du nom et il solicite different sens, des thermes qui califies tous les sens ( l'ouï, vus, audorat.. ) p 276