tuteur
Les affranchis avaient un statut intermédiaire spécifique : ils bénéficiaient des droits civils et politiques attachés à la citoyenneté, à l'exception du droit d'être élu magistrat. Leurs fils, en revanche, devenaient des citoyens à part entière.
Les hommes nés libres (ingenui) pouvaient alors être :
Etrangers :
Pérégrins (peregrini) hommes libres, citoyens dans leur communauté (civitas), mais étrangers pour les Romains, et soumis à la capitation. Le ius gentium (droit des gens) s'appliquait à eux, plutôt que le ius civile, réservé aux citoyens.
Citoyens (cives) barbares externes déditices : pérégrins appartenant à une tribu vaincue ou révoltée contre Rome2
Citoyens latins (Latini) à partir de -338, disposant de droit inférieur et jusqu'à l'édit de Caracalla de 212, année de la généralisation de la citoyenneté romaine.
Citoyens romains
Status civitatis[modifier | modifier le code]
Selon le droit romain (ius civile), seuls les citoyens romains ont les pleins droits civils et politiques. Ces statuts se sont créés et modifiés suivant les époques (voir la partie historique de cet article pour plus de détail).
Le citoyen qui peut l'être de plein droit est le citoyen romain et peut faire partie de
La nobilitas après la Lex Hortensia en -287, d'origine patricienne ou plébéienne, famille ayant un consul dans leurs ancêtres.
Patriciens remplacés par les Patrices par Constantin Ier