Typologie de la violence
Les formes de violences existantes sont vastes. De prime abord, on constate deux formes :
- violences naturelles. Il s’agit des catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre, inondations, incendies, etc. Nous pouvons étendre cette perception aux dangers liés aux animaux.
- violences entre individus. Elle peut se manifester verbalement, physiquement, sexuellement ou psychologiquement.
Mais après quelques recherches, il apparaît que la violence peut se manifester d’autres manières. De façon plus ou moins visibles. En voici des exemples :
- violence pathologique. Elle est liée à des troubles mentaux.
- violence criminelle. Plus ou moins spontanée, elle correspond aux activités du crime organisé et à toutes activités à caractère délictuel.
- violence d’État. Ce dernier applique son autorité en matière d’ordre, de justice ou autres raisons de façon plus ou moins légitime. La règle imposée, sous couvert du bien de la nation, s’impose à l’individu sans besoin de son consentement.
- violence politique. A ne pas confondre avec la violence d’État. Elle s’apparente à des actes encore plus forts, tels qu’une révolution, un coup d’état ou même les actes de résistance à un envahisseur ou quelconque tyran.
- violence économique. Notion récemment admise en droit, cette violence est liée aux situations contractuelles jugées frauduleuses. L’abus, par exemple, d’un prestataire qui profiterait de la faiblesse d’une personne pour lui faire signer un contrat. Cette notion englobe aussi le fait de ne pas pouvoir disposer de son argent (par exemple, une personne âgée à qui ses enfants prennent ses revenus), de faire la manche pour vivre. On peut y relier le refus d’une promotion, de restreindre les vacances, les heures supplémentaires non payées, laisser peser la menace du