Un barrage contre le pacifique
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L’enfance teint la vie de joie et de vivacité, et garantie la continuité de la vie(IP1). En effet l’enfance donne à la vie dans la plaine une composante joyeuse et pleine de mouvement. (IS1). Cela est mis en évidence à travers le champ lexical de la joie: « jouaient» () « souriaient » () « ravis » (). Ainsi, on voit malgré les conditions de la vie dans la plaine, les enfants ravis, joyeux et souriants, arrivent à y introduire une dimension de joie. D’autre part, on voit que l’utilisation des verbes d’actions suivant : «o » donne un dynamisme à la vie de la plaine. En effet, les enfants, avec leur énergie débordante, malgré le manque de nourriture, s’épanouissent dans la plaine, nagent, pêchent, et jouent, défiants les conditions mortelles de la nature. Par ailleurs, en analysant l’extrait, on voit que l’enfance prolonge et perpétue la vie dans la plaine. (IS2). En effet, cette notion de continuité et bien mise en évidence dans le passage suivant : « et autre, l’année d’après,…. » (). Ainsi, on voit que malgré la mort qui fait rage dans la plaine, les enfants qui naissent remplacent ceux qui meurent, la plaine s’accroche à la vie à travers cette enfance qui se renouvelle. La continuité de la vie et fort présente aussi dans le passage suivant : « Cela continue …………a un rythme végétale » ().Il s’agit là d’une métaphore qui lie le rythme de reproduction chez les habitants de la plaine à celui des plantes. En effet, les plantes se multiplient à une vitesse faramineuse et poussent partout, préservant ainsi leur existence. C’est le cas de la plaine ou on voit des enfants partout, en se multipliant chaque année garantissant ainsi la continuité de la vie dans la plaine, tout en essayant de la teinter de la joie et de la vivacité dont ils sont capables.Par ailleurs, l’enfance est également liée à la mort car les enfants meurent en grand nombre et les causes sont très nombreuses. En effet, Contrairement aux adultes, les enfants sont plus vulnérables, et par conséquent,