Un commentaire compose sur candide ou l'optimisme
Candide ou L’optimisme
Le siècle des lumières est une période qui désigne le mouvement intellectuel, culturel et scientifique du 18ème siècle. Ce temps significatif a eu un grand impact sur le monde ; cela changea et développa les différents secteurs des arts, littératures, et histoires. Un des plus grands activistes de ce temps est François-Marie Arouet nommé Voltaire. A ce temps, Voltaire écrivait beaucoup de romans qui critiquer et ridiculiser l’état de l’autorité. Il a écrit Candide ou L’optimisme en 1759. Dans ce commentaire, je traiterai deux idées directrices : les luxes de l’Eldorado et l’hyperbole trouvés dans le dix-huitième chapitre. Plus précisément les lignes de 81 à 110.
Premièrement, les luxes de l’Eldorado. Voltaire a décrit l’Eldorado comme une utopie ; on ne trouve ni d’injustice « Candide demande à voir la cour de justice, le parlement ; on lui dit qu’il n’y en avait point, et qu’on ne plaidait jamais. » Ni d’inégalité « […] Cacambo demandait à un grand officier comment il fallait s’y prendre pour saluer Sa Majesté […] l’usage, dit le grand officier, est d’embrasser le roi et de le baiser des deux côtés. » Cette citation montre que, dans l’Eldorado, le roi est comme le peuple. Cela met en vue le contraste énorme qui se trouve entre le château du Baron Thunder-tren-tronchk à Westphalie où les visiteurs devraient lui saluer d’une manière respective et inférieur et le château du roi en Eldorado où on pouvait lui saluer comme un ami et « souper » avec lui. Dans ce paradis sur terre, quand Candide et Cacambo sont arrivés dans un carrosse, « vingt belles villes de la garde […] les conduisirent aux bains, les vêtirent de robes d’un tissu de duvet de colibri ; » Dans l’Eldorado, on ne trouve pas de prisons « Il s’informa s’il y avait des prisons, et on lui dit que non. » On trouve seulement des « palais des sciences, dans lequel il vit une galerie […] toute pleine d’instruments de mathématique et de