;Au début du poème,le poète=comme impuissant: il semble subir ses visions.Il est plus svt objet que sujet de la phrase:v.déséquilibre syntaxique ds la 1ere strophe:v.1 le «moi»pris ds le cor du corbeau et le cro de croasse
;Caractère absurde de certaines visions (Je vois le cntre de la terre v.10)

-Registre fantastique du poème
;Angoisse et incertitude,doute du lecteur/aux visions du poème.L'angoisse,l'étrangeté des visions=liée aux nombreuses personnification qui aiment les visions de ce poème (v.2:Ombre offusque-v.13-v.20,et procédé d'énumération et de gradation (v.1-v.2-v.3)
;On retrouve ds cette ode,des figures du fantastique

b)Un poète qui donne sa vision du monde

-Progression du poème:le poète s'affirme au fur et à mesure que progresse le poème:saturation du poème par le poète:v.tte les rèf au poète et à ses sens ds le poème: «devant moi»...A noter que ds les deux dernières rèf,le poète narrateur=sujet + associé au sens de la vue.+ allitérations v.7 à v.19.
-Le poète devient un peintre de l'apocalypse:la figure de l'hypotypose:visions deviennent tableaux:vers correspondant à la vision
Hypotypose:v.11 la présence du démonstratif + utilisation du présent + syntaxe simplifiée à l'extreme montre une image=lecteur voit ce que le poète voit.

2°Une vision monstrueuse

a)Le bestiaire inquiétant

-Le corbeau=juste un oiseau de mauvais augure:serpent=incarnatio du mal
-Une danse infernal:symbole des animaux.corbeau + serpent=mal;renard=ruse
Caractère absurde de la 2eme strophe=annonce par le v.10=angoisse croissante ds les images évoquées.Ce bestiaire inquiétant semble trouver so paroxysme ds l'accouplement de l'aspic et de l'ourse.

b)L'enfer biblique et mythologique

-La colère divine:v.7:allitérations en dentales=la dureté=image du jugement dernier
-Le poète invité par Charon décrit une vison de l' enfer:
-A travers le serpent=symbole du mal
-A travers le champ lexical de la chute
-L'enfer:le feu brûle
-images renvoient aux supplices