Durant, une conférence européenne à Londres sur la place de l’immigration en Europe, Adamsberg, commissaire de police à Paris et son adjoint Danglard firent une macabre découverte. Face à eux s’offrait devant le cimetière de Highgate, un empilement de dix-sept pieds.
De retour en France, le commissaire est confronté à une nouvelle affaire : celle d’un certain Mr. Pierre Vaudel écrasé, mutilé, découpé et broyé dans son salon. Les soupçons vont rapidement se porter sur Emile, le jardinier de Pierre qui hérite de la totalité de sa fortune. Cependant Mordent, un des hommes du commissaire, ne parvient pas à l’arrêter et il s’enfuit. Le rapport de police scientifique, vint démentir que le jardinier puisse être l’investigateur de l’horrible barbarerie. Avec l’appui du médecin de Mr. Vaudel, le docteur Josselin, Adamsberg apprend que Pierre aurait eu un fils qu’il n’aurait pas reconnue comme tel, pour éviter qu’il soit touché par ses nombreux ennemies. Adamsberg trouve le moyen d’attraper Emile pour l’interroger. Il le retrouva blessé par deux tirs de balles. Il est donc transféré à l’hôpital et il confie qu’il devait remettre un message à une certaine Mme Absert à Cologne. Il s’agit d’une lettre d’amour suivie d’un nom de village « Kiseljevo », le village de l’ancien oncle de Danglard. D’infimes traces d’ADN prélevées sur la scène du crime, permettent au laboratoire d’analyse d’affirmer qu’un certain Armel Louvois aurait été présent sur les lieux du crime. Mais, juste avant son interpellation, l’enquête est révélée par la presse. Adamsberg pense à une fuite et il décide d’ouvrir une enquête interne. Désormais, il est persuadé que la clé de l’énigme se trouve à Kiseljevo. Mais deux évènements troublants surgissent. Il apprend par visioconférence qu’un meurtre avec le même modus opératoire avait eu lieu à Vienne. Puis il y a la désagréable surprise de constater qu’Armel Louvois s’est introduit chez lui pour lui révéler une très vieille histoire. Adamsberg dans sa