Un livre est un outil de liberté
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Nous allons parler d'un thème imposé par Jean Guéhenno qui concerne les romans. «Dans: Les carnets du vieil écrivain, Jean Guéhenno à écris 'un livre est un outil de liberté'. Expliquez, commentez et discutez cette affirmation, en vous limitant au cas de la lecture littéraire et principalement de roman.» est le sujet proposé. La problématique contenue dans le sujet est une métaphore. Cette dernière met en avant deux idées: l'outil qui est donc un objet qui sert a faire quelque chose, puis la liberté, dont il s'agit d'être libre physiquement et moralement (être autonome indépendant, être son propre libre-arbitre).Donc, un roman ou une œuvre littéraire peuvent-ils permettre aux lecteurs d'être indépendant, à agir selon son libre-arbitre, ou de se sentir physiquement libre? Dans un premier temps, nous allons nous intéresser au coté néfaste de la lecture, puis dans un deuxième temps, à la thèse proposée: «Un livre est un outil de liberté».La lecture peut avoir un côté néfaste, elle impose donc de mauvaises conséquences sur le lecteur, quelles sont ces conséquences? D'abord, le livre peut-être dangereux à cause des idées douteuses qu'il peut véhiculer au lecteur, comme dans le texte Les Mots, de Jean-Paul Sartre où il dénonce l'idéologie douteuse de certains romans, et où il se moque des caractères stéréotypées. Ensuite, le livre peux entraîner une confusion entre la fiction et la réalité, comme dans Fille lisant à l'arrêt du bus, de Annie Saumont, où le personnage principale, une jeune fille, confond son univers à celui de la fiction. On identifie ce phénomène grâce à l'utilisation des structures grammaticales qui permettent la superposition des deux histoires. Enfin, il y a un risque de perdre la notion de la réalité et ses repères. On le prouve grâce à L'enfant, de Jules Vallès, où le héros, enfermé dans sa salle d'étude, découvre le livre Robinson Crusoé, à cause du quel, il perd son autonomie, étant hypnotisé par l'histoire. Il ne vois donc pas