Un être qui s’habitue à tout, voilà, je pense, le meilleure définition de l’homme
« Un être qui s’habitue à tout, voilà, je pense, le meilleure définition de l’homme »
Le fait que l’homme s’habitue à tout serait la meilleure caractéristique pour définir l’homme. S’habituer à quelque chose ou à quelqu’un est semblable à accepter ce qui arrive. L’habitude est une action qui résulte du temps qui passe, une habitude se fait après une certaine durée, elle est acquise par la répétition. S’habituer c’est aussi se familiariser, s’adapter à une situation inévitable quelques fois. C’est ce que cite Dostoïevski : « Un être qui s’habitue à tout, voilà, je pense la meilleure définition de l’homme.
Est-ce que l’homme peut s’habituer à tout ? Même aux pires conditions ? Certaines situations sont inévitables, on n’a pas le choix de vivre avec. Pendant la guerre, les soldats, le peuple, aucun n’avait le choix, il fallait s’y habituer. Après plusieurs années de combat, l’accoutumance de voir des cadavres, de tuer des humains, de ne plus pouvoir voir ses proches est présente, c’’est le quotidien. L’homme s’habitue.
Il en est de même pour des personnes atteintes du cancer par exemple, ces personnes n’ont pas le choix que d’accepter la maladie, de vivre avec cette maladie. La vie ne doit pas s’arrêter pour la cause. Aussi, le fait de devoir peut-être vivre à l’hôpital, en présence d’autres malades est difficile au début mais devient une habitude à la longue. De plus, les professionnels de la santé sont habitués à la présence des malades. Ils ne font plus attention aux signes extérieurs du cancer, un patient chauve passera inaperçu, il ne choquera pas le personnel.
Mais est-ce que l’habitude peut vraiment définir l’homme ? L’être qui s’habitue n’est pas forcément la meilleure définition de l’homme, ceci est excessif
L’homme ne peut pas s’habituer à tout. C’est une généralisation abusive.Dans certains cas, il y a une incapacité physique ou morale. Lors de