Une exploration des trois grâces de botticelli, de raphael, et de rubens
Le nu féminin incite des discours divers à propos de sa signification et peut être considérer une polémique selon certains depuis son début comme sujet chez des peintres, des sculpteurs, et plus récemment, des photographes. En effet, le nu féminin dans l’art reflète l’époque, la société et les gouts d’un peuple ou d’un artiste. Il faut mentionner avant d’examiner le nu féminin que, pendant le Moyen Age, la nudité a été complètement supprimée des sujets acceptables de l’époque. A partir de la Renaissance, le nu masculin nous a introduit le rationalisme où l’homme à été au centre de l’univers à travers des sculptures des athlètes grecs et des éphèbes alors que la perspective binoculaire évidente des tableaux ; l’homme y est toujours au centre et glorifié. Pendant la même période du XVème siècle la tendance vers le nu féminin a ainsi émergé. La femme nue n’a pas été représentée dans la même façon de l’homme nu puisque le but de l’artiste n’était pas du tout pareil. Le nu féminin représentait les éléments et les personnages mythologiques, soit Venus, soit Athénée ou n’importe quelle Déesse grecque ; la représentation de la divinité en employant le nu féminin a été achevée par les proportions du corps parfaitement calculés. En outre, les draps riches et méticuleux qui couvrent quasiment le mouvement séduisant du corps, les coiffes parfaites et l’air recueilli et méditatif suggèrent la beauté, la fécondité et la bonté de la femme. Ayant donné l’exemple vis-à-vis la mythologie, il ne faut pas ignorer l’importance qu’il porte, le sujet du nu féminin, en ce qui concerne la vie religieuse et quotidienne. A mesure que le temps passe, ces thèmes-ci récurent surtout pendant la Renaissance du XVeme jusqu’au XVIème siècle et continuent au période Baroque des XVIIème et XVIIIème siècles, notamment dans une façon ternaire, celle des Trois Grâces. C’est ainsi que nous analyserons le nu féminin