une langue bien vivante
Nous avons une culture bien à nous, les Québécois, qui mérite de se faire respecter et entendre. Le français est la langue la plus précise qu’il existe sur Terre. Elle était utilisée autrefois, à la cour et obliger. C’est une langue des plus belles qui m’a été tenue d’entendre. Alors pourquoi réprimons- nous notre langue au profit de l’anglais, cette langue si coup de poing? Les immigrants parlent français, une langue universelle et la noblesse du français.
Lorsque québécois veut se faire entendre ailleurs, ou dès que cela touche l’entreprenariat ou bien les profits, l’anglais devient une obligation, les Anglais boudent le français pas le choix, car ceux qui ont le monopole, ce sont des anglophones.
« Oui quelle admirable langue pour embaucher donner des ordres fixer l'heure de la mort à l'ouvrage et de la pause qui rafraîchit et ravigote le dollar speak white… parlez-nous production profits et pourcentages speak white c'est une langue riche pour acheter mais pour se vendre mais pour se vendre à perte d'âme mais pour se vendre» — Michèle Lalonde, speak white
À quoi bon possédé une langue utile dans la marchandise et non pas une langue émotionnelle, qui partage de vraies valeurs, tels la pitié, le pardon et la famille? Lalonde exprime très bien ce que je ressens dans cet extrait. Sert-elle vraiment à autre chose? Qu’à cela, c’est la langue des matérialistes, de l’économie mondiale, on n’a besoin que de chiffre alors pourquoi pas une langue si grise et terne. L’anglais est un dériver du français, si vous remarquiez, plusieurs mot anglais provient du français, tell table, soit table en français. C’est exactement le même mot, la même orthographe. Alors, pourquoi aller vers un dériver du français plutôt que vers la langue première, la langue de matière première. Par contre, la loi 101 nous a tiré une balle dans le pied. Comment plus détester une langue qu’en vous forçant à y parler? Beaucoup préfèrent être libre de pensé,