Une Maladie Myste Re Du 21e Me Sie Cle
Depuis un grand nombre d’années, plusieurs personnes ne font pas la différence entre les maladies neurodégénératives. En effet, la maladie de Parkinson et la maladie de l’Alzheimer se ressemblent beaucoup, mais chacune d’entre elles possèdent leurs propres différences. J’ai donc cherché à savoir pourquoi les gens développent-ils la maladie de Parkinson et qu’elles sont les causes et les conséquences de celle-ci.
L’ennemi de la motricité
En premier lieu, la maladie de Parkinson se caractérise par la disparition progressive des neurones dopaminergiques dans une certaine région du tronc cérébral appelée Substance Noire ou Locus Niger. Ceux-ci libèrent et fabriquent la dopamine : un neurotransmetteur indispensable du cerveau. En effet, puisque la zone atteinte par la maladie joue un rôle fondamental dans la motricité de nos mouvements, les personnes atteintes vont peu à peu faire des gestes rigides, saccadés et incontrôlables de telle sorte qu’ils ne pourront pas rester debout trop longtemps ou même porter une tasse à leurs lèvres avec souplesse et précision.
Des conséquences ravageantes
En second lieu, d’après le site de la Société canadienne du Parkinson1, les premiers symptômes se manifestent seulement lorsque le tiers des neurones produisant la dopamine sont endommagés ou morts. Le tremblement au repos, l’immobilité (bradykinésie et akinésie), la raideur et l’instabilité de la posture sont les signes les plus remarqués chez les parkinsoniens. Tous ces symptômes provoquent de nombreuses conséquences physiques et psychologiques. Par exemple, ils changent l’expression du visage des patients et ces derniers semblent inexpressifs et indifférents. De plus, comme les muscles de la parole sont affectés, la voix peut faiblir et devenir plus basse. La maladie de Parkinson entraîne souvent chez les personnes affectées des dépressions, des troubles du sommeil et des troubles du système nerveux végétatif.
Pour conclure, la