Unesco
La violence et la précarité œuvrée économique assaillent les professionnelles de l’information et de la communication.
Le 20ème anniversaire de la journée mondiale de la liberté de la presse a été célébré aujourd’hui. Le thème de cette année « Parler sans crainte : assurer la liberté d’expression dans tous les médias» a permis aux autorités et aux différents invités de se pencher sur les difficiles conditions de travail des journalistes mais également sur les solutions à préconiser pour une amélioration de l’exercice de leur fonction
Une minute de silence à la mémoire des journalistes, des soldats de l’information tombés dans l’exercice de leur fonction, c’est parti pour la commémoration du 20 ème anniversaire de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Dans sa communication inaugurale, Mme Ann-Thérèse NDONG JATTA, Directrice de l’UNESCO /BREDA, a tenu a remercié l’assistance pour l’importance qu’elle accorde à « cette journée de fête » pour les acteurs de la presse. Abordant des points phares auxquels sont confrontés les journalistes dans l’exercice de leur fonction, la Directrice de L’UNESCO /BREDA a invité les autorités à garantir aux journalistes, une sécurité de taille pour que ces derniers puissent exercer en toute quiétude leur métier.
Au menu des discussions, les conditions de travail des professionnels de l’information et de la communication, marquées par une précarité économique notoire, ont été longuement décriées par Mr khalillouh NDIAYE, Secrétaire général du syndicat des professionnels de l’information et de la communication(SYNPICS).
A la lecture de ces différentes déclarations, monsieur Cheikh Mamadou Abiboulaye DIEYE le ministre de la communication, des Télécommunications et de l’économie numérique n’a pas manqué, dans une communication relative aux conditions de travail au sein des organes, de signaler le soutien nécessaire que l’Etat doit apporter aux patrons et éditeurs