Valladolid
1550, Valladolid, région de Madrid, Espagne : soixante ans après la découverte de l’Amérique, après les massacres, les épidémies, l'esclavage subis par des millions d'Indiens, le Pape convoque un débat dans un couvent de Valladolid. Cette controverse voit s’affronter, durant plusieurs jours, deux prêtres dominicains, l'un défendant les Indiens, l'autre estimant qu'ils sont nés pour être soumis. Le magnifique texte de Jean-Claude Carrière, d'abord adapté à la télévision, a donné lieu à une version théâtrale. Avec dix acteurs au plateau, elle est proposée ici dans une mise en scène sobre et intelligente, émouvante et riche de réflexion, qui pose sans fard des questions sur la différence, le racisme, la dignité, la liberté ou l'humanité.
La mise en scène était très simple, il y avait une éstrade ou se trouvait le Pape et deux tables avec eux chaise, je parle d'un décors simpliste car la mise en scène n'a pas changer du début à la fin de la pièce ce qui est bien dommage car cela aurait été plus fascinant de voir des changement.
J'ai trouver que les personnages avaient une élocution parfaite, ce qui donner de la facilité a comprendre la pièce pour ceux qui l'ont lu comme ceux qui ne l'ont pas lu. Cependant, lors de la pièce nous pouvons constaté une vrai rivalité entre les deux personnages, entre celui qui défend les Indiens, et celui qui les dénigrent, c'était beaucoup plaisant car nous pouvions avoir les arguments des deux personnages, c'était une sorte de débat tout le long de la pièce ce qui était extrêment bien mis en scène par les cris, la gestuelle etc.
Je voulais également ajoutée que malgré quelque passage modifié nous pouvions constaté une adaptation parfaite du spectacle au livre, ce qui est très agréable de rerouver les mêmes choses, de pouvoir ce repéré afin de s'y retrouver et de mieux interprété la pièce.
Mais, lorsque la famille indienne est entrée en scène, pour ma part je n'ai pas très bien