1) Le document 1 représente la ville de Bruges vers 1300. On peut constater que la ville est entourée par une rivière et est parcourue par des canaux. Cela favorise le transport maritime tout comme Venise qui est une une cité-Etat bâtit sur pilotis. Il n'y a pas de rues, seulement des canaux. De plus, ces deux villes sont situées sur des bords de mer et donc ont des ports. Ce qui favorise le commerce maritime.
2) Venise est une ville qui se situe intégralement sur l'eau, dans un milieu hostile. Cela rend

Venise
Bruges
Avantages
Canaux
Cosmopolites, écluse en aval ? handicaps Compliqué à agrandir la ville
Accès par la mer difficile ? similitudes Canaux irriguent les villes, églises, villes qui vivent du commerce

différences
Rachat, seulement des vendeurs de Venise, dans la mer, proba attaques plus faible
Marchands viennent de partout, sur Terre, fortifications car risques d'attaques car « entrepôt »
ETOFFES
3) D'après le document 4, la colleganza ou « sociétés de mer » unit un marchand vénitien à un homme. Il prend des parts sur un bateau et le marchand fait du mieux qu'il peut pour gagner des bénéfices. Ceux-ci seront équitablement partagés entre les deux personnes. Le principe est de partager les risques. La lettre de change, quand-à-elle, permet de favoriser les échanges et limite les transferts de fonds. Elle permet de limiter les risques liés aux transports d’argent liquide et constitue une forme de crédit.
4) A l'aide du document 2, nous pouvons constater que Bruges se fait importer des oranges et des citrons de Castille, des fruits et du vin de Grèce, des étoffes et des épices d'Alexandrie, des peaux d'animaux dans la région de la mer Noire ainsi que tous les produits d'Italie tel que la soie, les armes, le brocart et bien d'autres encore. En échange de tous ces produits exotiques, Bruges, ville située dans une zone textile, vend à ses marchands toute sorte d'étoffes. D'après l'auteur, « l'activité commerciale de Bruges dépasse celle de