Verdun
La bataille débute par un manque de ressources en hommes et en matériels de l’Allemagne qui diminuent. Les allemands commencent à souffrir de la guerre et le moral est bas. L’armée allemande exécute alors le plan de Falkenhayn : amener le plus grand nombre de force française sur un champ de bataille,Verdun, car la ville se trouve près des usines d’obus et des voix de chemins de fer. Cette zone permet aux soldats allemand d’attaquer de trois cotés. De plus la proximité de Verdun ne demande pas de déplacer énormément leurs troupes. En choisissant un point précis dans la ligne du front les allemands évitent de trop dégarnir les autres fronts et renforcent la puissance de feu. L’armé allemande veut « saigner à blanc » l’armée française, briser les nerfs de l'adversaire, lui infliger des pertes telles qu'elle ne pourrait pas se relever.
La Première guerre mondiale :l’expérience combattante dans une guerre totale Déroulement: Le lundi 21 février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. 1300 obusiers ravagent la zone. L'infanterie allemande monte à l'assaut des lignes françaises. Certains soldats sont équipés d'un lanceflammes. Les poilus résistent à la première attaque. Philippe Pétain, commandant de la IIème Armée, organise la riposte. Mais les attaques vont se renouveler pendant plusieurs mois. Il n’obtient pas de renforts mais les troupes sont renouvelées, et toute l'armée française va connaître « l'enfer de Verdun » ! Le général Joffre, commandant en chef