Tôt dans la matinée du Septembre 26, sous une pluie battante, nous nous pressé avec un pilote, deux Sherpa et l'engrenage de l'expédition entière dans une Land Rover, a été pour nous emmener à Pokhara; deux autres Sherpa et Tamang cinq porteuse suivies le lendemain par bus. A la vingt-huitième de Septembre, nous étions sur le point de partir pour Pokhara. Maintenant, il avait trente heures pleuvaient en continu, de sorte que tous les départs et arrivées ont été interrogés. En ce temps dévastatrice notre voyage semblait de plus en plus irréel, et au bar de l'hôtel a plongé le sourire chaleureux d'un touriste jolie femme dans le doute: Comme je l'ai imaginé ce voyage avant, où je voulais à tout et pourquoi?
De Katmandou, la route mène à Pokhara par l'ancien royaume Gurkha au pied de la cordillère centrale; Pokhara derrière il n'y a aucune route à l'ouest. Par gorges escarpées de la rivière Trisuli qui était gonflé par les pluies à torrent, les vents de la route à l'ouest. L'eau sale mousser dans les rapides et était de plus en plus sombre depuis plusieurs reprises tonné bas glissements de terrain sur les murs. Chaque maintenant et puis jeté rochers en face de nous sur la route;puis le pilote a attendu jusqu'à ce que tout était venu pour se reposer, et ensuite serpenté à travers les décombres, tandis que les yeux fixés sur l'imminente sur nous accrocher masses rocheuses. Dans les montagnes de pluie enveloppé nous avons rencontré un groupe de silhouettes encapuchonnées. Ils portaient un cadavre, et la vue de son suscité sombres prémonitions, mal à l'aise.
Après le déjeuner, la pluie assoupli, et la rupture criardes vient entre le nuages d'orage soleil a conduit le Land Rover à Pokhara. Le lendemain a introduit un soleil aqueuse, le ciel du sud déplacé le nuage, tandis que de l'Himalaya dans le Nord était rien à voir comme un tourbillon de nuages épais. Au crépuscule planait aigrette blanche en face de la faible pendaison, à nouveau la pluie nuages noirs; la