On peut observer un champ lexical de la gloire et de la grandeur : « grandeur éblouit » (vers1), « il triompha » (vers21), « ivre de sa gloire » (vers 29), « victoire »( vers 3 ) Victor Hugo veut rappeler au lecteur les nombreuses batailles glorieuse de napoléon « l’Europe sous sa loi guerrière » (vers 5 ) où napoléon fut un exemple sur le plan de la stratégie militaire. L’auteur utilise vers 12 la métaphore « aigle d’airain » qui est synecdotique de la grande armée et met en avant fait que l’Europe est une proie pour Napoléon. L’aigle est le symbole de la guerre. Victor Hugo nous rappelle les grandes batailles de Iéna et Austerlitz « Berlin, Vienne étaient ses maitresses » (vers 17) . Victor Hugo utilise souvent l’enjambement qui donnent une ampleur majestueuse au personnage, entre le 5ème et 6ème vers de chaque strophes. Il utilise même un double rejet au « quinze an, il fut…. (Bien lire le texte en mettant l’accent sur le rejet) » (vers 2à4), Cela évoque bien l’impression d’inéluctable conquête de napoléon. IL y a un paradoxe « il entra du pont d’Arcole, il sortie » (vers13-14) qui montre la facilité qu’à eu napoléon pour remporter certaine bataille comme celle du pont d’Arcole en 1787 où il eu l’idée d’une très bonne stratégie pour vaincre les autrichiens. Victor Hugo met donc encore en valeur la puissance militaire de napoléon Bonaparte. Le texte est écrit en 5 vers, l’auteur a donc une vision hyperbolique, parfaite de napoléon 1er. Dans la dernière strophe la description de grandeur de Napoléon est amplifiée « lâchant le monde » (vers 33), « l’immense mer » (vers 34), « chute profonde » (vers 35), Le poète retrace donc la carrière politique et militaire de Napoléon Ier de sa grandeurjusqu’à sa chute. Ce texte nous laisse penser que la fin de son règne fut des plus