Victor Hugo, Un soir que je regardais le ciel
D'abord, nous pouvons distinguer un souvenir d'un amour perdu et ce souvenir est près de la rupture, car on y voit un souvenir ou celle-ci lui reproche de regarder le ciel plutôt qu'elle. En premier lieu, nous pouvons distinguer qu'il est se remémore un souvenir, grâce aux quatre dernières strophes. Nous voyons premièrement, par un chiasme à la neuvième strophe, Ma bien-aimée ainsi tout bas parlait (vers 49), et Ainsi tout bas parlait ma bien-aimée ( vers 54), que le poète reprend la parole, puisque les huit premières strophes c'est sa petite amie qui parle. Ensuite, nous pouvons distinguer dans ces deux vers le temps de verbe qui est au passé. Nous voyons ensuite au vers 55-56 d'autres verbes au passé, battaient, m'étouffait, entr'ouvrait, nous voyons ainsi une rétrospection sur le texte de la demoiselle des huit premières et nous voyons que ceci c'est déroulé dans un le passé. De plus, nous avons un champ lexical du souvenir, à la onzième strophe ( vers 61-64), avec O souvenirs, anciennes pensées, choses éclipsées et passé disparu. Ce champ lexical renforce mon idée de souvenir, donc nous pouvons en déduire que même si les huit premières strophes ne sont pas écrites au passé, cette histoire s’est déroulée dans