Brian Shahbazi-Matin
Vie Politique
385-101-MV

Travail Pratique 2
Les Acteurs Politique

Travail présenté à
M. Thomas Tremblay

Département des sciences sociales
Cégep Marie-Victorin
Le 20 février 2012
L’ENJEU
Tout d’abord, les articles que j’ai sélectionnés traitent un sujet qui est très critiqué au Québec : L’Anglais intensif à la sixième année du primaire. Le programme d’Anglais intensif vise à développer une certaine compréhension de la langue anglaise par les jeunes étudiants du Québec. C’est un programme qui varie de 300 à 400 heures d’apprentissage en anglais et qui a lieu à la dernière année de l’école primaire. Autrement dit, une moitie de l’année scolaire serait faite en français, puis l’autre sera fait entièrement en anglais. Le gouvernement souhaite mettre en place le nouveau programme de façon graduelle à partir de l’automne qui suivra. En somme, cet enjeu suscite l’intérêt public, car il y a toujours le débat ouvert sur la préservation de la langue française puis la décision prise influencera le fonctionnement des écoles scolaires partout au Québec.

LES ACTEURS POLITIQUES
Premièrement, il y a la Fédération des Comités de Parents du Québec (FCPQ) qui est un acteur politique à cet enjeu. La FCPQ est pour la mise en marche de ce programme selon un sondage où 87 % des membres ont voté pour l’implantation de l’Anglais intensif. C’est un acteur qui défend ses intérêts dans la société et influence les débats sur le programme de l’Anglais intensif. D’ailleurs, c’est un acteur de la société civile et dans ce débat en particulier, il s’oppose à la FSE-CSQ et a la FAE en étant en faveur pour l’implantation de l’enjeu. Je l’identifie comme acteur politique, car l’ensemble de la FCPQ fait son devoir de citoyen et exerce son pouvoir démocratique.

Deuxièmement, il y a la Fédération des Syndicats de l’Enseignement (FSE-CSQ) qui est un acteur politique de type institutionnel. C’est un acteur politique à cet enjeu, car il défend ses intérêts