Vilain mire
Tout d’abord, la ruse est le moteur de l’action, car c’est elle qui permet aux épisodes de s’enchainer les uns après les autres. Au début le vilain riche et chiche n’a pas de femme. Ses amis lui en trouvent donc une qu’il considère trop jolie pour lui. Il décide donc de la battre pour la rendre laide, afin qu’aucun homme ne tente de la courtisée. Sa femme n’aimant pas se faire battre chaque jour, bien entendu, décide de rendre l’appareil à son mari. C’est à ce moment qu’entre jeu la première ruse. La femme va faire à croire au messager du roi, à la recherche d’un médecin pour sauver la fille du roi, que son mari est médecin et qu’il faut le battre pour qu’il obéit. Le vilain mire, se faisant battre, n’a pas le choix d’accepter. C’est à ce moment qu’entre en jeu la seconde ruse. Il a donc lui aussi mis en place une ruse .Le vilain mire se met à grimacé devant la fille du roi qui, en riant, recrache l’arête qui était coincer dans sa gorge et la sauve par chance. Le roi lui demande donc de rester et de guérir tous les malades. Entre en jeu la troisième ruse. Il va menacer les malades de faire en semblant d’être guérit ou il en brulerait un. Les malades ont donc feinté d’être guérit et de ce fait, il s’en sort indemne et le roi lui permit de rentrer chez lui et lui offrit de nombreux cadeaux. Ainsi, on que la ruse est le moteur de l’action et que si elle n’était pas là il n’y aurait pas d’histoire.
Ensuite, la ruse étant le moteur de l’action joue aussi le rôle de vision du monde. Nous savons qu’à cette époque la femme ne peut se permettre de quitter son mari ou de le contredire. C’est