Ville
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1942 : "Terraqué" (terra + aqua), terre et eau.
-> Terrassé, traqué.
Années 60 : Eugène Guillevic publie 3 recueils intéressants : Carnac, Sphère (inspiration de "Terraqué"), et Ville, d’inspiration nouvelle. Ville est un long poème où il essaie d’apprivoiser ce milieu (Paris).
Années 70–80 : Dans cette dernière période, Guillevic gagne en sérénité.
Introduction
Nécessité de se sentir mieux dans la ville où il est obligé de vivre (Paris).
C’est une "méditation poétique" sur Paris. Ville est en fait un long poème dans lequel il la définit, il en cerne les contours. Il essaie d’approcher physiquement la ville, mais aussi par les mots comme si elle était un texte.
Lecture du texte
Annonce des axes
Etude méthodique
I) Approche de la ville :
Implicitement, le poète se demande à quoi pourrait ressembler la ville si elle était une fleur. "Lilas pas bien valide" -> pas en bonne santé (fleurs brûlées, ou racornies). C'est peut-être une allusion à la pollution.
Lilas : par sa forme, représente un ensemble de fleurs agglomérées. L’ensemble a souvent une forme allongée -> immeuble.
Lilas : peut pousser sur des gravats ; couleur discrète, va bien avec la ville.
Page 32 : Réponse à une question implicite.
Rapprochement ville / élément de la nature.
Le malaise : pages 32-33
Ville -> rapprochée du lilas pas bien valide. Les sonorités se répètent de façon assez désagréables (assonances en [a], mais aussi en [i], ainsi qu’une allitération en [l]).
Page 37 : Page