Violence et resolution des litiges
Monsieur le Directeur de l’URES de Korhogo,
Messieurs les Secrétaires généraux des Universités,
Messieurs les Directeurs d’UFR et de Centres,
Messieurs les Chefs de service,
Cher(e)s collaborateurs et collaboratrices membres du Personnel administratif et technique,
Chers collègues enseignants-chercheurs,
Chers étudiants,
Mesdames et Messieurs,
Soyez les bienvenus au Siège de l’Université de Bouaké.
Monsieur le Ministre, dans le cadre de vos tournées dans les structures sous tutelle, vous avez décidé de vous rendre à notre siège, à l’Université de Bouaké, afin de cerner plus exactement, avec l’index et l’œil de l’Observateur, les réalités caractéristiques de cette institution. Cette démarche, Monsieur le Ministre, Prof. N’guessan Yao Thomas, nous en sommes convaincu, n’est pas l’expression du thomisme ambiant du christianisme, entendez le réalisme de Saint-Thomas, car nous savons que vous nous avez déjà cru sans avoir vu les réalités démotivantes de notre institution.
Monsieur le Ministre, nous sommes particulièrement heureux de vous accueillir ce matin et de faire connaître à votre équipe les traits caractéristiques de notre institution. Nous sommes en effet une institution délocalisée, ce qui nous vaut la dénomination symptomatique d’Université de Bouaké à Abidjan.
L’Université de Bouaké à Abidjan fonctionne sur treize (13) sites disséminés à travers le district d’Abidjan. Ainsi, nous avons au Plateau le CFC et le Service de la Coopération, à Abobo-Adjamé, les UFR des sciences juridiques et des Sciences économiques, au carrefour Duncan, la scolarité, aux Deux-Plateaux, station mobile, le CEMV, aux Deux-Plateaux Rue des Jardins, le Décanat de l’UFR CMS, dont les Départements se trouvent en alternance au Lycée technique, et respectivement, aux Deux-Plateaux Henri-Poincaré (pour les Départements des Sciences du Langage et de la Communication et d’Allemand), à AUNIS (pour les Départements de Philosophie et de Sociologie), à l’ENS (pour