Vipère au poing
Après le décès de leur grand-mère, Jean et Ferdinand retrouvent leurs parents revenus d’Indochine. Dès la sortie du train leur père les embrasses, tandis que leur mère les repousse de son talon et leur ordonnes de porter ses valises. Mais ils ne sont pas seuls a voyager, il y a aussi Marcelle, leur petit frère qu’il ne connaissait pas jusqu’alors, il est le préfère de leur mère et est souvent valorisé par rapport a Jean et Ferdinand. A peine sont-ils arrivés chez eux, que leur mère les prive de leur biens, telles que leur jouet, leur chauffage, leur chocolat… Elle verrouille le tout dans un placard. Ils sont même privé de cohabiter dans la même pièce .Dès lors commence une relation mère-fils désastreuse. Ces derniers la surnommeront « Folcoche » et lui feront vivre un calvaire en échange de son dégout envers eux. Leur père, passionné des mouches et soumis par sa femme, car gardant la tradition familiale, ne travaille pas, elle lui assure un train de vie raisonnable.
Ce film se prénomme « Vipére au poing » car Jean –le plus enragé envers sa mère- se souvient avoir pris une vipére dans son poing et la serrer très fort en la regardant droit dans les yeux. Il retrouve le même regard de vipère lorsqu’il regarde sa mère avec provocation pendant les déjeuners.
La scène qui m’a le plus touche est celle ou folcoche annonce à Jean qu’il est celui de ses trois enfants auxquels elle ressemble le plus. Elle lui fait une preuve d’amour maternelle malgré tout les malheurs qu’elle lui inflige.
J’ai bien aimé ce film car maintenant, grâce à lui, je me dis que