Virtualisation
Oracle VM) a tendance à casser les schémas traditionnels d'administration du stockage, ce qui peut perturber les relations entre administrateurs systèmes et stockage. L'idéal est d'envoyer ces équipes se former ensemble et de les faire s'asseoir autour d'une table pour définir leurs règles de cohabitation en environnements virtualisés. D'autant qu'à l'avenir les frontières entre composants d'infrastructures devraient continuer à s'estomper…
Définir un modèle de coût afin de facturer les utilisateurs
Dans un modèle de production informatique traditionnel, chaque service métier se voit allouer ses propres ressources dédiées et est donc refacturé en conséquence. Mais dans un monde virtualisé, les ressources sont pour l'essentiel mutualisées et il est donc nécessaire de définir un modèle de coût afin de pouvoir refacturer de façon pertinente les utilisateurs mais aussi afin d'éviter certaines dérives. Certaines entreprises qui se lançaient dans la virtualisation ont ainsi été confrontées à une inflation galopante du nombre de leurs machines virtuelles faute d'avoir mis un coût sur ces machines. En affichant clairement et dès le départ, un prix (et accessoirement un temps minimum de provisionning de quelques heures, plutôt que de quelques minutes) on limite les risques d'abus. Afficher aussi une grille tarifaire est aussi un moyen pour un service informatique de se benchmarker face à ses concurrents extérieurs (notamment les outsourcers) mais aussi de définir des règles de recours (ou non) aux services de prestataires tiers comme les opérateurs d'infrastructures en nuage.
S'assurer du support de ses fournisseurs de logiciels
Un point souvent sous-estimé dans les projets de virtualisation touche aux aspects de support logiciel. Ce domaine reste un vrai champ de mines, aucun