Vitesse ou lenteur ?

Vitesse ou lenteur ? Tel est le débat capable d’animer une société entière. En effet, chacun est ici concerné, qui n’a jamais fait allusion à ces termes ? Ces deux-ci étant inévitablement présents dans la vie de tous les jours. Certes les opinions sont partagées, il faut cependant admettre que tous deux sont dotés à la fois d’inconvénients et d’avantages. Parmi ceux-ci, certains sont révélateurs, d’autres moins … Mais finalement, dans la société où nous vivons, par laquelle de ces deux notions est-il préférable d’être influencé ?

D’abord la vitesse est bien souvent synonyme de précipitation. A l’école, au boulot ou encore chez soi, l’envie de terminer ce que l’on est en train de faire pour commencer autre chose est toujours présente. Le besoin d’aller vite n’est pourtant que désavantageux, dans ces cas-ci il n’a pour conséquence qu’un travail bâclé et donc, dans la plus part des cas mal fait ou à recommencer. De plus, cette précipitation est souvent accompagnée d’un stress, d’une certaine excitation que l’on ne peut expliquer. Ce stress nous rendant nerveux et plus impulsif, pousse souvent l’homme à commettre des erreurs, parfois graves. Dans la précipitation, l’homme oublie de profiter du moment présent, de penser aux conséquences, négatives ou même positives de ce qu’il est en train de faire, il ne voit qu’une chose, l’aboutissement de ce qui le tenaille. Cette précipitation, due à la vitesse, cause souvent en l’être de profonds regrets, souvent irréversibles, même avec le temps. C’est pourquoi, toute personne a le besoin vital de ralentir à certains moments. Tout ne peut toujours aller à fond, au maximum. L’homme ne peut que penser aux choses telles que le rendement, la production, l’avancement sous peine d’être alors considéré comme un robot. Tout être possède aussi des envies, des désirs qui lui permettent de se changer les idées, de décrocher à certains moments. Que ce soit les loisirs, les moments en famille ou encore des