Vive les frites
Tout d’abord, il devra prendra en compte la qualité de l’air. C’est un facteur très important surtout pour les courses d’athlétisme de longues distances. Pendant cette course d’endurance, le sportif va respirer l’air qui l’entoure et si celui-ci est pollué, des particules peuvent se fixer sur les poumons et ainsi influer négativement sur les performances de l’athlète. De plus, d’après une étude sur les sportifs des derniers jeux olympiques, un athlète sur six serai plus ou moins atteint par un asthme d’effort.
Les sportifs prennent donc des mesures pour éviter d’être gêner par une éventuelle pollution. La marathonienne anglaise Paula Radcliffe, asthmatique, avait pris contact avec des experts en pollution avant les jeux olympiques de Pékin en 2008.
Des muscles plus chauds
Ensuite la température joue un rôle important
Heureusement, le retour à un temps plus frais depuis le début des épreuves a permis aux taux d'ozone dans la capitale britannique de revenir à des seuils acceptables. Toutefois, ces températures relativement fraîches (22° C en moyenne), typiques d'un été anglais, ne seront pas favorables aux courses d'athlétisme les plus rapides, plutôt avantagées par un climat chaud. Les muscles sont plus efficaces lorsqu'ils sont «chauds» car les enzymes produisant l'énergie musculaire fonctionnent plus rapidement, explique le Dr Steve Ingham, physiologiste à l'English Institute of Sport. Pour preuve, les records du 100 mètres masculins ont été