LE VOCABULAIRE DE LA LITTERATURE D’IDEE
I. CONVAINCRE/ PERSUADER/ DELIBERER
Convaincre signifie que l’on va vouloir faire changer d’avis un interlocuteur en utilisant uniquement des ……………………...et en s’appuyant sur la ……………..
Persuader signifie que l’on signifie que l’on va vouloir faire changer d’avis un interlocuteur en utilisant des ……………, des ……………………. et des ………………..et en s’appuyant sur la …………….. et sur ………………………….
Délibérer signifie que l’on va peser le ………………...et le ………………..
II. ARGUMENTATION …afficher plus de contenu…

Un auteur peut faire un discours organisé. Il s’organise dans la tradition
……………… en 4 parties comme le voulait l’usage des procès. Un homme qui fait un discours s’appelle un …………………….
- Captatio benevolentiae ou …………………………… : L’auteur précise la situation d’énonciation avec les pronoms, précise ce dont il va parler, cherche à surprendre mais aussi à créer une …………….... Il faut qu’on puisse l’entendre.
- Narratio : il rappelle les faits de manière à persuader.
- Confirmatio : il donne des arguments pour attaquer ses adversaires et confirmer sa thése.
Il utilise très souvent des ………………………………
- Péroraison : il s’agit d’appeler l’interlocuteur pour le pousser à agir comme on le veut avec des …………………….., des………………………..et bien sûr rappel de la …afficher plus de contenu…

C. Un apologue est un discours coupé. On a juste sélectionné la narratio et la………………….. et parfois la ……………………….. C’est le principe du conte moral ou philosophique. Et bien sûr de la fable qui va raconter une …………………. avec des personnages allégoriques et en tirer une leçon ( une ………………..) l’auteur montre pourquoi il ne faut pas faire et ce qu’il faut faire. Un homme qui fait une fable est un
………………………………………….
D. Une maxime est une vérité……………... généralement sous la forme d’une expression courte, une phrase. On la trouve fréquemment dans un discours pour justifier. Au dix- septième siècle, on trouve des recueils de maximes détachées comme un genre mondain qui doit amener à réfléchir et provoquer la………………. , le développement de