Voltaire lettres philosophiques
Au XVIIIème siècle, nommé siècle des lumières, le philosophe et écrivain français Voltaire fut connus d’abord pour sa tragédie Œdipe écrite en 1718. Pendant un exil forcé en Angleterre il y découvrit une monarchie totalement à l’envers de son pays. Il recueillit des témoignages et anecdotes dans le but de faire de son ouvrage le recueil des idées nouvelles. Ce recueil rédigé sous forme de lettres parut en 1734 sous le nom de « lettres philosophiques », il rassemble pour la plupart des lettres traitant des grands thèmes des Lumières. La lettre une est une des quatre lettres concernant les quakers. Voltaire veut défendre la religion à travers le témoignage de l’un d’entre eux.
Pour répondre a la question de quelle manière Voltaire traduit il ses convictions concernant le Quakers, l’analyse s’appuieras d’abord sur les singularités du quaker, puis le rôle du second extrait et enfin elle mettra en relief des critiques contenus.
un opinon sur les quakers (ligne 1 et 2) la singularité du personnage (ligne 5 6 8) un lien avec la religion (ligne 9) superlatif (ligne7)
Ouverture d’esprit (ligne12 13)
Absence de politesse (ligne 16 17)
Vie modeste (ligne 3)
L’homme est sage (ligne 3)
Habitude religieuses (ligne21)
Simpliste (ligne 23)
Chaleureux sociable repectueux (ligne 9,10)
Comment expliquer un comportement si singulier par rapports au coutumes francaises le deuxieme extrait apporte des expliquations
Répétitions chronologiques avec indications historiques (ligne 29,30,31)
Tutoiement (ligne 30)
Dévalorisation (ligne 29,32,33)
C’est pourquoi les quakers refuse les signes de politesse
Il defend une ideologie
Egalité des relations (ligne 36,37)
Critique de l’hypocrisie (péjoratif) (ligne 34,36)
Sous l’apparence d’une simple rencontre avec un etranger l’auteur amene le lecteur a reflechir a une facon differente de penser sa foi et sa relation avec les autres. Ces deux extraits sont biens dans la lignées des