voltaire pamphelet
Comment Voltaire condamne-t-il la condition féminine ?
I. Le portrait d'une femme de caractère...
1/ La franchise d'une femme entière
Le personnage de Mme de Grancey est une personne vive
Chacune de ses paroles frappent par leurs vivacités
Elle n'hésite pas à interrompre son interlocuteur
Nombreuses exclamations pour montrer son indignation
Caractère vif des images qu'elle utilise : « maladie de 9 mois »
2/ Une femmes libérée
Mme de Grancey semble peu préoccupée des notions de bien séances moral et de toutes formes d'autorité, elle se moque de l'autorité du texte religieux, fait des allusions et références aux règles féminines, au corps, aux douleurs de la grossesse
Elle réduit l'homme à ses caractères sexuels secondaires
II. … qui dénonce le scandale de la condition féminine
1/ Le refus d'être soumise à l'autorité d'un mari
Elle part d'un exemple précis en posant la question était-elle marié ?
Elle se met à la place de la femme de Saint Paul ( ligne 20-21 )
Elle évoque la nature ( ligne 33 )
Elle énumère les souffrances de la femme par des questions rhétoriques, répétitions de l'expression « n'est ce pas assez ? »
Les femmes ne veulent pas être soumises à des lois conjugales car les femmes sont déjà soumises à des lois de la nature
2/Le refus de la supériorité de l'homme sur la femme
Selon elle, la différence homme-femme est dû à la pilosité, en faisant ça, elle rend la thèse de la supériorité de l'homme dérisoire
L'homme tire se supériorité grâce à sa violence
La maréchale s'efforce de rendre les différences physiques dérisoires, elle revendique une complémentarité homme-femme
Champ lexical de l'union
Le refus de la soumission est aussi exprimer selon l'idée que l'autorité est associer à l'esclavage
La maréchale est révolter par la soumission qu'on peut lui imposer
La voix de l'homme reste présente dernière ce réquisitoire féminisme
III. Sans masquer pour