Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis Ferdinant CELINE
Insultes des noirs envers les noirs : : perversion des blancs
l.60 « qui avait des chaussures » : proposition relative : commence à ressembler aux blancs physiquement
l.60 « un grand coup de botte (…) fesses » : violence, humiliation « stimuler » : litote
L’humour attenu
l.53 « ma petite mignonne » : gradation des surnoms
Invention des mots
Narrateur : à la fois complice et critique.
Q1 : parole rapportées (discours direct)
Q2 : « langue parlée »
« Langue parlée » démontrent l’originalité et la modernisation de Celine. De plus elle permet d’atténuer la cruauté.
Problématique : Comment l’usage de cette langue parlée et de ce dialogue familier sert à la dénonciation d’un troc inégal et raciste ? A- Comment est mis en scène l’humiliation * Description physique et morale :
Indigène timide et sentiment de peur : « ils préféraient demeurer à distance » (l.4) « il n’osait pas entrer le sauvage » (l.12) ; « yeux baissés »( l.17) .
Explication : Méconnaissance des blancs, ignorance complète, naïveté primitif corrompu par la civilisation. Rencontre des deux univers opposés dont on n’est témoin : l.24 « première fois » et contradiction entre « ville » et « forêt ».
« Penaud » l.34 Dénuement (vivre avec peu de choses matériels) : il ne sait pas quoi faire, il est désarmé, que ça spot physiquement ou moral
Simplicité (exemple de l’arme simple : coupe coupe (contrairement aux hommes blancs); transport de caoutchouc dans un panier), harmonie avec la nature.
Comportement des indigènes peuvent porter « problème » car les blancs de connaissances par leur codes dans cet échange.
Marque une forme d’assujettissement ( manque de dominatoon
Lexique de l’immobilité qui est associer à l’imparfait (principe de durée) : victime des codes comportementaux des blancs : ils sont figés, manque de mouvement qui marque une sorte d’assujettissement.
l.58 : assujettissement (= on ne tourne pas le dos au « roi »)