Résumé

Le 20 juillet 1992 eut lieu dans une ville de France une commémoration dédiée aux gens qui ont été le 20 juillet 1942 déportés dans le camp d’extermination d’Auschwitz. Ce convoi était composé de juifs mais surtout de femmes.
50 ans plus tard le maire, l’évêque et le préfet eurent honte de ne pas avoir célébré cet événement.

Hitler était au pouvoir depuis quelques années. Il avait crée un parti politique autoritaire et à la fois unique, composé d’hommes nazies. Les SS sont définies par la devise « sang, sélection, dureté ». Le seul but d’Hitler était de conquérir l’Europe, il n’aura aucune limite. Ses idéaux étaient meurtrières et extravagantes. Il voulait tuer tous les juifs, les handicapées et les Tziganes.

La famille du petit garçon était venue vivre en France pour être libre. C’était une famille juive que l’on distinguait avec l’étoile juive qu’ils mettaient sur leur poitrine du côté gauche.

Avant la guerre, Jean-Claude Moscovici, le jeune garçon vivait tranquillement dans une belle maison à la campagne avec ses grands-parents, ses oncles, ses parents et sa petite sœur. Son père était médecin, il aimait soigner les gens. Mais son enfance heureuse jusqu’ici va très vite être bouleversée par l’entrée en guerre de la France et de l’Allemagne.

À ce moment-là, son père et ses oncles partent à la guerre et Jean-Claude Moscovici reste avec ses grands-parents et sa mère.

À l’Armistice, il retrouva toute sa famille. A son retour, son père ne pouvait plus exercer sa fonction de médecin car il était juif.

En 1942, le jeune garçon avait six ans lorsque sa famille fut arrêtée par des gendarmes allemands et français, et dispersée. Heureusement, sa mère réussit à s’échapper et s'enfuit dans la nuit. Elle pensait ses enfants en sécurité. Les enfants furent d'abord confiés à des voisins. Mais rapidement, ils furent retirés de cette famille car les nazis ne toléraient pas la présence d'enfants juifs dans les familles françaises .