La bataille de Verdun faisait rage , rien ne pouvait arrêter les français qui acharner, continuais à débarquer dans les tranchées adverse malgré les trous d'obus qui les empêchait de marcher droit .
Le bruit des obus qui atterrissait à quelques mettre de lui ne le déstabilisa pas un seul instant . François n'était pourtant le plus courageux de tous les soldats comme lui répétait sans cesse le chef de son régiment "si tous les soldats était comme cette fillette de François vl a qu'on serais mal barrer ", mais les moqueries le motivait encore plus mais la peur mort ,cette peur que lui seul ressentait ne faisait accroitre de secondes en secondes .
Mais voilà un soldat allemands qui lui tire dessus , par chance elle l'effleura de peux , François paniqué ne savant pas quoi faire, se jeta par terre pour éviter les balles . iI aperçut le soldat qui tentait de l'abattre , et le combattant dans face n'avait pas abandonné sa cible.
François perdit l'esprit pendant plusieurs seconde à cause des bruit d'obus qui s'acharnait autour de lui et qui le recouvrait de terre . Lucide sur sa situation qui devenait encore plus critique il s'engouffra dans un creux qui le côtoyait à sa gauche .
Une seul solution décimer son adversaire qui s'acharnait de plus en plus et faire sa vite car une grenade ou un obus pouvait atterrir l'achever a tous moments. Il s'avait qu'il n'aurait pas beaucoup de possibilité d'effectuer un tir a distance et les circonstances qui lui permettrait de réussir son tir de si loin serait inimaginable.
Il attendit le bon moment et d'un coup se redressa et le faucha d'une balle dans le thorax qui le fit s'écrouler comme une masse sur le ventre. François qui n'avait jamais été aussi près de la mort était maintenant au bord de l'explosion. il s'avança prudemment regardant autour de lui quelconque danger qui pouvait le nuire et puis arriva devant son ennemie, la joie qu'exprimais François lui qui était les plus moqué et décrié venait de réussir l'impossible.