ZOLA - l'oeuvre
André Durand présente ‘’L’œuvre’’
(1886
roman d’Émile ZOLA (350 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 7) l’intérêt de l’action (page 8) l’intérêt littéraire (page 8) l’intérêt documentaire (page 9) l’intérêt psychologique (page 13) l’intérêt philosophique (page 14) la destinée de l’œuvre (page 15) les études de passages (pages 15, 16, 17, 19, 20) Bonne …afficher plus de contenu…
Mais ‘’L’enfant mort’’ est mal accueilli : «Et les jeunes blaguaient la grosse tête, un singe crevé d’avoir avalé une courge, évidemment ; et les vieux, effarés, reculaient.» tandis que Claude est considéré comme «un fou qui s’entêtait depuis quinze ans, un orgueilleux qui posait pour le génie, qui avait parlé de démolir le Salon, sans jamais y envoyer une toile possible !» (page 278). Il est donc d’abord refusé pour être cependant repêché lors de «la révision générale» (page …afficher plus de contenu…
La peinture moderne naissait de cette désinvolture.
Les tableaux de Manet et de quelques autres ont encore suscité, aux Salons de 1865 et de 1866, que
Zola a également vus et commentés, les mêmes réactions qu’en 1863. Les comptes rendus satiriques 11 et les caricatures de la petite presse exprimainent eux aussi, à leur manière, l’incompréhension du public, avec des plaisanteries identiques à celles que suscite ici “Plein air”. Zola a dit de Manet, qui a fait son portrait et l'illustration de “Nana”, qu’il était «le coeur le plus net, celui qui a montré la personnalité la plus fine et la plus