En reprenant le roman de RQ, Zazie ds le métro, L.M. À réalisé 1 film, au même titre que le roman, sortant de l'ordinaire. En effet, grâce à son unicité, ce film témoigne d'une innovation particulière de la part de son auteur. Dans la revu « art », Jean Domarchi parle de zazie ds le métro comme d'un « film expérimental », nous pouvons nous interroger, et voir en quoi ce film est-il un film expérimental. Ce la nous amène à nous pencher sur le jeu des acteurs qui nous permettant ainsi de s'intéresser à la mise en scène du film. Nous pourrons ensuite aborder le son caractère innovant.

Dès les première minutes du film, nous pouvons remarquer que le jeu des acteurs n'est pas commun à ceux des films ordinaires ; en effet, Gabriel, un des personnages principal, ouvre la première scène sur un quai de la gare d’Austerlitz ou figure d'autres personnes attendant le train. Ces figurants vont être revu et interviendront plusieurs fois encore dans le film ; comme par exemple lorsque Zazie accuse Turandot d'être un sature. C'est donc pour cela que ces personnages sont appelés par LM les permanents.
Le jeu des acteurs est exagéré ; en effet, nous assistons à une parodie de personnages qui suggère le comique, comme lorsque le pickpocket de la première scène vole extravagamment des objets sans que les victimes ne s'en rendent compte. La scène de l'altercation violente lors du diner des fiançailles de Charles et de Mado petit-pied montre cet hyperbolisation des personnages : zazie dort pratiquement tous les long de la scène alors qu'autour d'elle, la pièce devient rapidement un désordre incontrôlable. On assistera plus tard à la mort de la veuve Mouaque qui apparaîtra comme anodine.
Comme nous l'avons dit plus haut, les personnages reviennent ; certains occupent même plusieurs identités ; c'est le cas de l'amant de Jeanne Lalochère, qui est Pedro-surplus, Trouscaillon, un marchant, Aroun Arachide et d'autres encore ; et luis même, dans une scène avec Gridoux, exprime sont