Je mis plusieurs heures à les trouver, je repensais à tous les bons moments passés ensemble. C'était comme une sœur pour moi, on avait tellement rit, et malheureusement je me rendis compte que c'était fini. J'aurais aimé qu'elle revienne avec nous comme auparavant. Elle ne méritait pas ce qu'il s'était passé !D'après mon ami son tueur était un armateur très riche mais sans cœur qui se prénommait Jean. Je partis en sanglot.
Mon ami, Arnold était son mari, il avait une situation confortable au ministère de la défense,il était à l'enterrement et m'a dit qu'il s'était passé des événements étranges. Il entendait des voix qui disaient : « Un beau jour je me vengerai ! ».Il eut peur et partit avec une crainte terrible.
Le lendemain, au beau soleil du printemps nous allions au port pour voir ce fameux armateur, nous étions armés dans le but de lui faire peur pour qu'il révèle toute la vérité. Mais brusquement la porte se ferma. Il fit sombre et le tonnerre se fit entendre. J'entendis le parquet craquelait. Le froid s'abattit sur le château. J'eus un sentiment de désarroi je me disais : « et si jamais c'était elle qui revenait ».Je me cacha sous l'armoire en marbre. Mon ami était consterné, à genoux. Je lui disais de venir mais il ne répondit pas. Je le vis en train de prier devant la sainte croix en or. Et tout à coup il tomba, il rendu son dernier soupir. La porte s' ouvrit de nouveau comme s'il ne s'était rien passé. Il faisait beau et chaud. J'allais chercher la police. Ils rejoignirent la demeure et virent le corps d'Arnold sans aucune trace de blessure. Ils ne trouvèrent aucune explication rationnelle à cela