C’est « je » qui raconte l’histoire (« Je » fictif, censé être George Filmer qui relate son récit de voyage). « Je » rend visite à son ami Paul Wilmouth aux Antilles. En revenant de chez son ami, il était abattu de tristesse car, en parcourant les campagnes, il avait vu des habitations où des esclaves étaient maltraités. Son ami, Wilmouth, lui, avait des esclaves mais ils exprimaient leur joie sur leur visage. Un jour, une révolte éclate. Le chef des esclaves maltraités se nomme John, nègre du Bénin dont le véritable nom est Ziméo car les colons leur redonnent un nom européen. Il a fait révolter ses esclaves qui sont les Nègres marrons. Quand il découvre Wilmouth il décide de l’épargner devant sa bonté et relate son histoire : son idylle avec Ellaoré sa promise et leur séparation, ayant été dupés par le mercantilisme de vils négociants portugais. Voilà ce qu’il l’a poussé à la révolte. Mais, au moment même où l’histoire est relatée par Ziméo au narrateur, le destin remet Ellaoré sur sa route car l’amour efface tous les obstacles !
L’ARGUMENTATION AU XVIIIème siècle : Réflexion autour de la guerre, politique et religion |
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|(Groupement de textes) |
|Objets d'étude |Convaincre, persuader, délibérer : les formes de l’essai, de la fable ou du conte philosophique |
| |Un mouvement littéraire et culturel : Les Lumières |
|Problématique retenue |De l’argumentation directe et indirecte, laquelle est la plus efficace ? |
|Lectures analytiques |Damilaville, article « Paix » de « la guerre est un fruit » à « ses