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GOFFMAN, étudie dans son livre les relations qu’entretiennent les individus entre eux. Il met en évidence les « rites » qu’utilise ces dernier dans leurs échanges. L’auteur explique que ces rituels sont indissociables et systématique dans les interactions.
Lors de relation avec autrui nous adoptons des comportements codifié socialement pour transmettre une image positive de nous. C’est ce que l’auteur appelle « la face ».
GOFFMAN introduit la notion de « garder la face ». C’est à dire que l’individu se comportement conformément aux règles établies par la société. Il adopte des attitudes qui sont considéré par tous comme « correctes ». Il veut bien agir auprès des autres. Ce principe lui permet d’être accepter par la société. Lorsque cette image est estimé, l’individus présente un sentiment « d’assurance ». En résumé, notre image dépend de la perception des autres.
A l’inverse, si l’individus « perd la face », c’est que sont comportement n’est pas en adéquation avec les bonnes meurs. Ainsi, l’individus est rejeté.
L’auteur, met en évidence un autre principe : « sauver la face ». La personne adapte son comportement, il change son image selon les codes qui régisse la société dans laquelle il se trouve ou par rapport a un groupe social.
L’auteur appelle figuration, tout ce qui permet à lui ou à autrui de ne pas perdre la face. Il va donc adopter des stratégies comme « l’évitement » qui va lui permettre de se sortir d’une situation ou son image et/ou celle des autre pourraient être mises à mal. Le principe d’évitement peut se traduire par le refus de rencontre, par les changements de sujet etc. .
Par exemple, si dans le cadre d’une recherche d’emploi auprès d’une banque, pour garder la face la personne en question va adapter son langage, son comportement et sa façon de s’habiller aux codes qui régissent cette activité.
Ensuite la figuration se manifeste lorsqu’une