Zone de guillaume apollinaire, alcools
En effet, Apollinaire personnifie le fleuve, le décrivant de ivre, sûrement à cause des t’engages du bateau qui repose sur l’eau, cela crée une impression de vertige Vers 10 = le poète qui était parvenu à revenir dans le réel avec les filles blondes plonge à nouveau dans un monde fantastique. Il est confus, gagné, à nouveau, par le chant de la Lorelei, la sirène du Rhin, emplie d’ivresse poétique, il décrit les étoiles comme de l’or qui se reflète sur le fleuveVers 11 = malgré le désir d’Apollinaire de s’éloigner des ondines, leur cri de mort le rattrape comme un maléfice Vers 12 = Apollinaire est en pleine ivresse, tout prend vie autour de lui, tout devient l’inverse et son contraire et il entent même des sortilèges sortie de son espritsV13 …afficher plus de contenu…
Le poète utilise un vocabulaire mélioratif pour la décrire. D’ailleurs il compare les building à de grandes filles au jambes longues Vers 2 = le poète est impressionné par cette ville au grand building ( il est timide )Vers 3 = répétition de timide, insistance sur la hauteur les grattes-ciels sont tellement haut qu’il en à le vertige Vers 4 = les yeux de chouette signifie qu’il est captivé par cette ville ou même les building éclipse le soleil Vers 5 = le poète nous décrit la lumière comme couleur souffre Vers 6 = les matériaux moderne des grattes ciels sont personnifier, présenter comme les plus solides etc...V7 V16 → De la fascination au regard critique Vers 7 = mais poètes décrit les trottoir comme chauves, donc lisse et hostile Vers 8 = le poète décrit un changement de perspective, son regard sur la ville a changer : il est passé de l’émerveillement à la critique en seulement 3