Zones A,B,C; zones 1,2,3; zones supérieure, zone inférieure; zones à pognon, zones galère. Les termes sont nombreux pour introduire les inégalités, des inégalités qui existent depuis longtemps, depuis toujours, tous les jours, la vie quotidienne est bien différente entre les personnes qui peuplent et qui remplissent les villes. Certains dandinent du cul dans les rue marchande pour se trouver le prochain tee-shirt qui sera à le mode cet été, ceux qui donne l'impression d'avoir beaucoup d'assurance dans leur démarche parce que tout le monde sait que c'est en fonction de la tenue et de la posture que nous jugeons une personne. Pendant que d'autres sont obligés de se frotter le cul par terre pour pouvoir manger. Comment avons-nous fait pour qu'il y est aujourd'hui de tels écarts, de telle différences? Je ne sais pas. Toutes les années on prouvaient à quel point l'homme pouvait se diviser, se déchirer, tenter de fuir un essentiel inéluctable; quel que soit le contexte, les époques, les situations, on a jamais vu l'homme se battre pour se rassembler, supprimer les aprioris et les préjugés. Avant on se battait à l'arc et à l'épée, aujourd'hui on se déchire à l'arme nucléaire. Le monde est tellement habitué au mal, que le bien le choque. La méchanceté et la violence on détruit nos rêves et mi en quarantaine nos utopies, difficile dans ce cas d'avancer et de comprendre la situation. De nombreuses personnes sont devenues superficielles pour fuir l'essentiel, laissant derrière eux des individus de la même espèce se trainer dans la merde et la misère?
Le superficiel est devenu essentiel pour permettre de justifier ses mauvais choix en mettant en avant toute une série d'arguments matériels et arbitraires, nos propos sont désormais gratuits, nous ne luttons plus pour évoluer mais pour cacher le passé, tenter de camoufler nos erreurs, or si la vie c'est le présent et si la liberté et dans nos têtes, alors ces personnes qui vivent avec les regret du passé et les angoissent