Texte A
"Le train a atteint Maritzburg, le capital(la capitale) de Natal, à environ 21h00. Les literies ont eu l'habitude d'être fournies à cette station. Un serviteur de chemin de fer est venu et m'a demandé si j'ai voulu celui. ` Non, ' n'a dit moi, ` j'ai un avec moi. ' Il est parti. Mais un passager est venu ensuite et regardé sur moi en haut et en bas. Il a vu que j'étais un homme 'coloré'.
Cela l'a dérangé. D'il est allé et est entré de nouveau avec un ou deux officiels(fonctionnaires). Ils se sont tous tus, quand un autre officiel(fonctionnaire) m'est venu et a dit, ` Venez, vous devez aller au compartiment derriere !
"` Mais j'ai un billet de première classe, ' ai-je dit. ` Cela ne compte pas, ' a rejoint l'autre. ` Je vous dis, vous devez aller au compartiment de fourgon. ' ` Je vous dis, on m'a permis de voyager dans ce compartiment à Durban et j'insiste sur m'y passer. ' ` Non, vous ne ferez(serez), ' a dit l'officiel(le fonctionnaire). ` Vous devez laisser(quitter) ce compartiment, ou bien je devrai appeler un agent de police pour vous pousser dehors. ' ` oui, vous pouvez. Je refuse de sortir volontairement. '

Texte B
Je suis un magistrat de pays, un officiel(fonctionnaire) responsable dans le service de l'Empire, servant de mes jours sur cette frontière paresseuse, attendant pour me retirer(partir en retraite). Je perçois les dîmes et les impôts, administre les pays(terres) communs, vois que l'on fournit la garnison puisque surveillent les officiers juniors qui sont les seuls officiers que nous avons ici, surveillons le commerce, présidons la cour de justice deux fois par semaine. Pour le reste j'observe la hausse(l'ascension) solaire et mets, mange et dors et suis content(de contenu).
Quand je décède j'espère mériter trois lignes de petits caractères dans la gazette Impériale. Je n'ai pas demandé plus que de vie calme dans des temps calmes.
Mais l'année dernière les histoires ont commencé à nous atteindre du capital(de la capitale)