A la manière de candide, l'optimisme. (la pauvreté)
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Après avoir passé les Champs-Élysées, je me dirigeai vers la Tour EIFFEL. A ses pieds, je levai les yeux pour admirer sa grandeur. Cette immense statue de fer avec ses si beaux jardins autour me fascinait. Une chose m’intrigua ; pourquoi y avait-il des hommes dévêtus dans ce froid hivernal, Sûrement des modèles pour artistes : le peintre ne devait certainement pas être bien loin. Plus tard, après avoir contemplé les quatre différents côtés de la Tour EIFFEL, je décidai d’y monter. La file d’attente était longue, et j’attendais pour acheter un billet quand je remarquai, qu’assis à côté de la caisse, se trouvait un homme avec son chien. Ils étaient là, dans le froid, tous les deux. Quel bonheur d’être oisifs et contempler le ciel ! L’homme tendait la main, une invitation aux passants à venir s’asseoir près de lui pour méditer. Je passai malheureusement mon chemin, j’avais beaucoup à faire.Je pris donc l’ascenseur et arrivai au premier étage. Là, il y avait une foule de touristes tout aussi éblouis que moi. Soudain un homme bizarre s’approcha de moi et me demanda l’heure. A peine j’eus sorti la main de ma poche qu’il m’arracha la montre et partit en courant. Cet homme devait en faire la collection et trouvait la mienne originale. Cela ne me sembla pas très grave vu que j’en avais des dizaines.
Après la visite de ce monument historique, je redescendis et regardai à côté de la caisse ; l’homme et son chien avaient disparu. Alors, je commençai à me promener dans Paris.
Au loin, j’aperçus une luxueuse limousine blanche. Elle était vraiment très belle. Quand je passai devant, j’aperçus à la fenêtre, un chien semblable à celui de l’homme assis au pied de la Tour EIFFEL où certainement il attendait qu’on vienne le chercher.
Il était 23heures quand je rentrai à l’hôtel. Ce fut une très belle