A ne pas prendre
Problématique: Comment l'auteur et le cinéaste traduisent t'ils la décadence de leurs personnages ?
Introduction:
Des montagnes de l'Himalaya ou des terrasses des HLMs, dans des caves humides ou des chambres sombres, dans des décors, fermé ou ouvert, toujours aussi extrême, ils se rassemblent. De tout milieu sociaux-culturel, et pourtant se ressemblant, ils s'assemblent pour mieux, planer, voyager s'extraire de la réalité sans dérangement.
Partagé entre plaisir et conscience du danger, lucidité et déchéance ... Ils sombrent lentement mais surement. Ces vie en marge de la société on été fort bien illustré par le film, Requiem for a dream, de Darren Aronofsky et le récit autobiographique, Flash ou le grand voyage de Charles Duchaussois, que j'ai choisis pour ce thème, Drogues et dépendance.
Ainsi, comment l'auteur et le cinéaste traduisent t'ils la décadence de leurs personnages ?
Les œuvres
Flash ou le grand voyage En juin 1940, Charles Duchaussois perd son œil gauche suite a un bombardement allemand, rejeté et surnommé le borgne pendant toute sa scolarité, il ne s'intègre pas. On lui interdit l'obtention du permis de conduire à cause de son handicap, roule sans permis et fini par se plaire a être hors-la-lois, rejeté. Il vagabonde un peu partout en France et en Europe durant quelque années.
Un jour, en juin 1968 un amis lui propose de le rejoindre au Moyen orient. Il part en vagabond ayant juste une tenue de gala au fond de son sac et un peu d'argent , intéressé, il goute à la drogue, le hachisch, dont il en fait la récolte au Liban, avant de partir en Turquie, à Istanbul où il fait connaissance avec la communauté hippie, au fil de ses rencontres va continué son chemin, traverse la Turquie, l'Irak, le Koweït, l'Afghanistan, le Pakistan, et l'Inde avant d'arrivé au Népal . De Katmandou, il reviendra in extremis, a moitié mort, complètement camé dans l'avion du retour en France en janvier