A propos des vertus
On parle soit - Des vertus dites " cardinales " A savoir : la prudence, la justice, la force et la tempérance. La prudence
Permet de discerner en toute circonstance la bonne attitude et à choisir les justes moyens de l’accomplir.
Elle ne se confond ni avec la timidité ou la peur, ni avec la duplicité ou la dissimulation. La justice envers Dieu appelée " vertu de religion ".
Envers les hommes, elle permet de respecter les droits de chacun et à établir dans les relations humaines l’harmonie qui promeut l’équité à l’égard des personnes et du bien commun. La force
Assure dans les difficultés la fermeté et la constance dans la poursuite du bien.
Elle rend capable de vaincre la peur, même de la mort, d’affronter l’épreuve et les persécutions. Elle dispose à aller jusqu’au renoncement et au sacrifice de sa vie pour défendre une juste cause. La tempérance
Modérateur des plaisirs, procure l’équilibre dans l’usage des biens créés, par une maîtrise de la volonté sur les instincts. - des vertus théologales
Les vertus humaines se prolongent dans les vertus théologales qui adaptent les facultés de l’homme à la participation de la nature divine. La foi
Nous ne devons pas seulement garder la foi et en vivre, mais encore la professer, en témoigner avec assurance et la répandre. L’espérance Assume les aspirations des activités des hommes ; elle protège du découragement et soutient en tout délaissement. L’élan de l’espérance préserve de l’égoïsme et conduit au bonheur de la charité. La charité
C’est en fait cette vertu théologale qui a guidé mon propos :
"Je te donne tout ce que j'ai, tu me donnes tout ce que tu as, pour qu'on puisse donner encore plus aux autres"
L’Abbé Pierre