A quelque chose le malheur est bon Un enfant a couru dans la rue , à faute d’attention, il a trébuché sur une pierrre et a tombé par terre, ce petit enfant est ensuite allé à son père et lui a raconté tout ce qui s’est passé en pleurant pour chercher une consolation, mais j’ai endendu dire à son père que ‘A quelque chose le malheur est bon’. C’est un proverbe assez populaire qui peut se résume que dans certaines conditions , le malheur est capable d’avoir un aspect propice. D’une part c’est une phrase pleine de la pensée dialectique. Elle nous révèle que la vie est un ensemble paradoxal : il n’y pas de chose qui est tout à fait bon ou tout à fait mal. Un malheur qui cause tant de soucis au début peut-être apporte un profit à la fin, et vice versa. Donc il nous faut envisager tous les aspects d’un problême, une adversité même une catasrophe pour s’échaper au pessimisme, et aussi étudier tous les aspects d’une bonne fortune pour ne pas conduire à un autre proverbe ‘Tel qui rit vendredi dimanche pleurera’. Et dans la pluspart du temps, on utilise le premier devant une situation malheuse pour exprimer ‘ne pas avoir des idées trop noires’. De toutes façons, le bonheur et le malheur peuvent se transformer de l’un à l’autre. J’ai lu une histoire d’un écrivain, qui a été hospotalisé pendant plusieurs jours à cause d’une crise cardiaque. Ça c’est vraiment désagréable, et il l’a cru aussi tout abord. La chose a changé après quelques jours, quand il voulait se promener dans l’hopital, à la sortie de son batiment, le soleil tiède l’a caressé, les lumières claires et les beaux paysages l’ont touché et réchauffé, il a cru que c’est à cause de sa maladie qu’il a trouvé la signification de la vie, pour laquelle il n’a jamais aperçu dans ses préoccupations quotidiennes. De l’autre part, quant à ce proverbe, il nous faut apercevoir que des conditions sont nécessaires pour le rendre soutenable. Et parmi les conditions, certaines sont