L’euthanasie, du grec ancien « eu » (bon) et « thanatos » (mort), désigne l’acte médical consistant à provoquer intentionnellement la mort d’un patient afin de soulager ses souffrances physiques ou morales considérées comme insupportables, soit en agissant à cette fin, soit en s’abstenant d’agir. On distingue communément à cet égard l’euthanasie active de l’euthanasie passive. L’euthanasie doit enfin être distinguée du « suicide médicalement assisté » qui consiste, pour le corps médical, à donner au patient les moyens de mettre lui-même fin à sa vie.

On peut trouver des avis favorables ou non à cette pratique ; on pourrait l’autoriser en respectant la liberté individuelle qui dis que l'homme doit être le seul décideur des droits associé à son corps, seul maître de sa vie et que c’est donc lui qui devrait décider de sa vie ou de sa mort, c’est pourquoi la loi Leonetti a été mise en place mais la souffrance occasionnée et la lenteur occasionnée rend cette loi insuffisante.
L'article 16 du code civil énonce : « La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l'être humain dès le commencement de sa vie ». Ainsi si, une personne se juge trop malade elle devrait pouvoir décider de mettre fin à sa vie.
Pour certaines personnes l’euthanasie ne représenterais pas seulement la fin d’une vie mais une libération, la fin d’une très grande souffrance, la volonté du patient devrais donc être prise en compte. La difficulté de vivre avec la maladie est difficile, de plus dans le cas où aucune solution n'est trouvée la vie peut devenir un véritable enfer que le patient veut quitter.

D’autres gens peuvent penser contre l’euthanasie car elle peut dissimuler un meurtre, les héritiers peuvent se servir de l’euthanasie afin d’accélérer l’héritage mais les malades peuvent aussi subir une pression morale de la part des proches, ou une pression financière à cause du coût élevé des soins pour les proches.